Pendant la révolution
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Dans une délibération du 21 novembre 1790, le maire, les officiers municipaux et les notables déplorent le manque d'eau. Ils
envisagent ensemble :
- de "faire arranger les fontaines qui se trouvent sur les côtes de ce lieu, c'est-à-dire de se procurer les véritables
sources par le moyen d'une tranchée décidée par les gens de l'art, qui après cela les feraient déposer dans un réservoir
tant pour les bestiaux que pour ceux qui le désirerait".
- Un autre projet est évoqué "acheter de l'eau à la commune de Marcilly, qui fait remonter l'eau par une machine mue par
un cheval (un seau à la minute)"
A la fin de la délibération, la conclusion : "il est décidé que tous les moyens proposés sont bons, excellents, mais qu'avec la somme
modique de 1 900 livres, on ne pourrait faire que bien peu de choses ..."
L'assemblée municipale "se restreindra à simplement faire réparer les guez (sic) et remet les autres projets dans un moment où
la comptabilité le permettrait plus".